Sur les conseils de mon hôte je vais profiter des derniers rayons du soleil sur la plage d’Allapujah, où se côtoient certains des meilleurs restaurants de la ville, ainsi qu’un bar mentionné dans mon guide. Le front de mer n’a rien d’une riviera : une voie rapide en viaduc est en construction sur le front de mer, et a déjà saboté l’agrément qu’il pouvait avoir. La plage demeure toute fois agréable.
La décoration intérieure du bar indien n’est pas très joyeuse, mais apparemment les clients, tous des hommes plutôt jeunes, ne viennent pas pour ça, si j’en juge par le nombre de bouteilles de bière de 66 centilitres qui traînent sur les tables. Je suis le seul visage pâle parmi eux. On me fait signe d’aller commander au comptoir, et cette trace des habitudes britanniques me rappelle un pub londonien à l’ambiance particulièrement soignée et originale.
Son souvenir n’est pas particulièrement à l’avantage du lieu. Il est vrai qu’entre des murs en pierres grossières vernies en marron, des poutre et tuiles apparentes également sombres, un mobilier foncé et un sol lie-de-vin, le bar indien ne déclenche pas l’excitation. D’autant qu’il est à peine éclairé par des ampoules basses consommation pendouillant de la charpente.
La seule touche de couleur du lieu est le fruit d’un panneau publicitaire célébrant le sponsoring du championnat de cricket par la marque de bière Kingfisher, avec son bel oiseau piscicole bleu et jaune, au long bec pointu. Je m’en reprendrais presque une autre du coup.
La décoration intérieure du bar indien n’est pas très joyeuse, mais apparemment les clients, tous des hommes plutôt jeunes, ne viennent pas pour ça, si j’en juge par le nombre de bouteilles de bière de 66 centilitres qui traînent sur les tables. Je suis le seul visage pâle parmi eux. On me fait signe d’aller commander au comptoir, et cette trace des habitudes britanniques me rappelle un pub londonien à l’ambiance particulièrement soignée et originale.
Son souvenir n’est pas particulièrement à l’avantage du lieu. Il est vrai qu’entre des murs en pierres grossières vernies en marron, des poutre et tuiles apparentes également sombres, un mobilier foncé et un sol lie-de-vin, le bar indien ne déclenche pas l’excitation. D’autant qu’il est à peine éclairé par des ampoules basses consommation pendouillant de la charpente.
La seule touche de couleur du lieu est le fruit d’un panneau publicitaire célébrant le sponsoring du championnat de cricket par la marque de bière Kingfisher, avec son bel oiseau piscicole bleu et jaune, au long bec pointu. Je m’en reprendrais presque une autre du coup.